Publié dans Culture

Stand Up - Joely débarque dans la capitale avec son fameux « Miseho Milay »

Publié le lundi, 29 décembre 2025

Imaginez une salle comble, un silence tendu, puis des éclats de rire qui résonnent comme une vague ininterrompue. Ce n’est pas une utopie, mais bien la promesse que Joely, stand upper malgache qui réside en France, compte tenir les 13, 14 et 15 février prochains au CCI Ivato. Pour la première fois, l’artiste, dont les vidéos virales ont conquis des millions de followers, foulera la scène tananarivienne pour y livrer son fameux « Miseho Milay », un spectacle attendu comme une consécration. Deux heures trente à trois heures d’humour pur, sans filtre, sans concession.

Joely n’est plus un inconnu. Ancien journaliste transformé en phénomène des réseaux sociaux, il a su captiver le public malgache avec un humour acéré, souvent teinté d’autodérision et de réflexions sociales. Mais cette fois, il ne s’agira plus de sketches éphémères postés en ligne. Miseho Milay est une plongée dans l’univers de l’humoriste, un spectacle abouti, pensé pour la scène, où il incarnera seul le rôle principal. "Ce sera un théâtre aux normes internationales", confie-t-il, non sans fierté. Pas de personnages cultes issus de ses vidéos, mais des références subtiles à ceux qui ont forgé sa popularité. Derrière ce projet ambitieux se cache une volonté : élever le stand-up malgache à un niveau jamais atteint. Pour y parvenir, Joely s’est entouré de la maison de production Ivenco, réputée pour son expertise en événements d’envergure. "On a travaillé chaque détail pour offrir une expérience immersive", précise-t-il. Et attention, mesdames et messieurs : les téléphones devront rester éteints. "Filmer sera strictement interdit", avertit l’artiste. Une règle qui vise à préserver la magie du moment, mais aussi à protéger un contenu pensés pour être vécu, pas partagé.Un humour sans limite… et sans enfants Joely ne cache pas son ambition : Miseho Milay ne sera pas un spectacle pour tous les publics. "Certains sujets abordés ne conviennent pas aux oreilles sensibles des enfants. L’impatience est déjà palpable. Dès le 30 décembre, les billets seront disponibles pour les trois représentations : deux soirées (vendredi 13 et samedi 14 février) et une matinale (dimanche 15 février). Une aubaine pour ceux qui veulent vivre ce moment historique

Si.R

 

Fil infos

  • Stockage de matériels de la JIRAMA à Toamasina - Le Groupe Sodiat apporte des clarifications
  • Persécutions politiques - Les collaborateurs de Rajoelina dans le viseur du régime
  • Fête de la Nativité - Pas de trêve politique
  • Administration public - Six Chefs de Région "par intérim" nommés 
  • Haute Cour Constitutionnelle - Des soi-disant démissions contestées
  • Gouvernement de la Refondation - Distribution de vivres dans le Grand Sud en fin de semaine dernière
  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff